Au centre de recherche Universitaire de Genève, le Dr. Ariane Giacobino a démontré qu’un traumatisme laisse une « cicatrice » dans l’ADN de la victime. Cette cicatrice se transmet jusqu’à 3 générations. D’où l’intérêt de soigner les victimes autant au niveau corporel, émotionnel, mental que spirituel.